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La sorcière de la rue Mouffetard, et autres contes de la rue Broca
de Pierre Gripari, Christian Biet

 

Un recueil de sept contes drôles, pleins d'humour et de vivacité. Les jeunes retrouveront, dans un cadre léger, fées, sorcières et démons qui peuplaient le monde sérieux de leur enfance. Pour les 11-13 ans. Un supplément de 32 pages de jeux, tests, exercices...

-          Une sorcière voulait être la plus belle fille du monde. Un jour elle lit dans le journal des sorcières que pour devenir belle il faut manger une petite fille dont le prénom commence par N avec de la sauce tomate. La fille de l'épicier s'appelle Nadia...
C'est bien ! Adeline R. école d’Hénouville. 

-          Un jour, une sorcière, qui vivait dans le quartier des Gobelins, à Paris, qui était très laide, avait vu dans le journal des sorcières comment il fallait faire pour devenir belle. C'était écrit qu'il fallait manger une petite fille avec de la sauce tomate, mais cette petite fille, il faut obligatoirement que son prénom commence par un N.
J'ai bien aimé ce livre, parce qu'il y a plusieurs histoires dedans et il y a des histoire marrantes et ça parle de sorcières. Camille D.  école d’Hénouville.

-          Ce livre contient 7 petites histoires.
J'ai bien aimé l'histoire de Lustucru. L'histoire se passe avant que Jules César ait conquis la Gaule. Un roi avait un enfant. Une fée arriva et dit que s’il appelait son enfant Lustucru il serait immortel. Alors le roi dit oui. L'enfant fit beaucoup de choses. Il fit devenir Jules César roi et se maria avec la mère Michel.

-          Et comment ? En volant son chat bien sûr !
J'ai aimé l'histoire de la sorcière de la rue Mouffetard. Elle voudrait être belle et dans le journal des sorcières on le peut, mais il faut manger une petite fille à la sauce tomate. Et il faut que son nom commence par la lettre N. Et justement il y avait une petite fille qui s'appelait Nadia. Alors elle essaya de la manger par tous les moyens, mais c'est raté.
Je n'ai pas aimé le géant aux chaussettes rouges. Je n'aime pas trop le moment où il détruit la maison et quand il voyage. M-Audrey C.  école d’Hénouville.

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